Mon carrot cake, je le blinde de tout un tas de bonnes choses que j’aime passionnément et cela donne un cake très parfumé avec une texture quasi sensuelle et beaucoup de goût. Coriandre, oignon, ciboulette, gingembre, pavot entre autres, mais surtout ma vénérable farine de pois chiches, qui comblera les intolérants au gluten et tout particulièrement Maïa, à qui je dédie cette recette, ô combien facile à réaliser et réjouissante à savourer. Le tout sans même se priver…
Ces temps-ci, je veloute à tout va. Lassis, smoothies, potages… rien ne m’arrête, le blender fonctionne à plein régime. Il y a 2 ou 3 jours, je suis tombée par hasard chez mon épicier bio sur ce beau pâtisson panaché tacheté de vert sombre (photo page suivante). Je n’en n’avais jamais mangé et même jamais vu de cette variété là, je me suis donc lancée dans la préparation d’un petit velouté maison inédit tout à fait dans l’esprit de la saison.
Non, ce n’est pas du tout un verre de lait. C’est un lassi fruité qui associe du melon vert d’Espagne hyper juteux avec du kéfir doux et du bon miel de Lavande de Provence. Une boisson rafraichissante et énergétique qui vous emballe un petit déjeuner et accompagne des fruits secs ou du muesli sans se faire prier. Un doux délice à boire et à partager.
Cela faisait des années que je n’avais plus pensé à faire cette salade, idéale pour s’alléger, soit dit en passant. C’est en voyant sur les étals du marché ces champignons de Paris à la robe délicatement rosée qu’elle m’est revenue à l’esprit comme une évidence de saison. Ce qui lui donne son caractère c’est sa sauce. Fraiche et goûtue, très veloutée et un brin piquante, elle relève les champignons à la perfection. À tester sans attendre.
Encore un velouté ? Oui. Les veloutés ont toujours ma faveur, quel que soit le moment, quelle que soit la saison. Ils sont selon moi une des façons les plus parfaites de consommer des légumes. Et puis, comme je l’ai déjà signalé il y a quelque temps, leur variété est absolument infinie. Pour preuve ce velouté aux accents insolites dont la saveur m’a littéralement bluffée et a séduit toutes les personnes qui l’on goûté. Vous remarquerez que, dans l’intitulé, je fais passer le persil avant le céleri rave, c’est parce que j’inverse les rôles. Le persil a ici valeur de légume alors que le céleri rave joue le rôle d’un simple aromate. Chaudement recommandé.
