Cette salade ultra-simple et très légère est diablement corsée en goût, un brin piquante, et follement tonique. Sa subtile amertume associée à un soupçon d’acidité lui confèrent un charme incomparable vaguement addictif. Aux plus téméraires je conseille de la tester en ajoutant une touche de piment, par contre, que ceux qui ne sont pas fous du gingembre et du citron passent leur chemin…
J’aime tellement le risotto ! Le risotto à tout d’ailleurs. Plutôt végétarien quand même, car je le trouve bien meilleur et plus raffiné sans viande. Et surtout bien moelleux, onctueux à souhait. Miam… je m’en lèche les babines rien que d’en parler. Celui que je vous propose aujourd’hui est là pour fêter la pleine saison des asperges sauvages à l’heure d’un passage à l’été qui laisse encore incrédule. Une fête tout en vert avec de jolies fèves pelées, de la ciboulette et du cerfeuil par poignées.
Quand on entre dans l’été (je sais, ça ne se sent pas…) mon plus grand plaisir c’est de manger des fruits, des fruits et encore des fruits. Hier soir, je recevais Monica et Giulia pour une petite dînette entre amies et je leur ai confectionné un de mes desserts fruités des plus enchanteurs. Pêche blanche, pamplemousse et menthe… un rêve de douceur, une ode à la fraicheur.
Des petits sablés pour un goûter de dimanche après-midi pluvieux, ça vous dit ? Pas mal non plus en dessert pour accompagner une glace ou une salade de fruit et incontournables entre deux pour un grignotage gourmand. Personnellement, je les préfère pas trop cuits, encore un poil moelleux. Mais ils sont bons aussi un peu secs et imbibés de thé… Le tout, finalement, c’est de s’en régaler.
Vite, vite, avant que la saison des poires ne soit définitivement passée… Encore un petit dessert très frais que je dédie à Anne pour lui prouver que le mariage des fruits et des herbes regorge de volupté. Pour la petite histoire, il n’y a pas si longtemps, je n’aimais pas trop l’estragon (la preuve avec mon post sur les herbes du mois de janvier) mais depuis que j’ai découvert sa parfaite adéquation avec certains aliments, j’en raffole littéralement. Disons qu’auparavant, je l’avais sous-estimé. Je n’avais pas pris conscience de toute sa finesse et ne savais pas optimiser sa saveur légèrement anisée. Je vous invite aujourd’hui à découvrir la merveilleuse alliance de la poire et de l’estragon, unis pour un dessert très distingué qui va, j’en suis sûre, drôlement vous épater.
