Rouges et charnues, mes fraises pourraient très bien se suffire à elles même. Cependant, elles sont entre mes mains et comme j’affectionne particulièrement les expériences je ne vais pas laisser passer une occasion de les accommoder. De toute façon, j’ai très envie de sucré et ce petit sirop maison me semble tout adapté pour apporter à ces bienheureuses fraises le parfum et la douceur qui vont les faire swinguer.
Ce n’est pas le dessert, ce n’est pas le fromage. C’est tout à la fois et c’est vraiment délicieux. C’est un genre de gourmandise sucrée-salée qui fait mouche à tous les niveaux. À déguster entre la poire et le fromage, mais aussi en entrée et même en plat de résistance servie avec une salade verte et des pommes de terre au four.
Cet après-midi, Axel est passé faire un saut à l’improviste. Connaissant son goût immodéré pour les boissons sucrées, je nous ai confectionné un smoothie bien balancé. Car le smoothie n’échappe pas à la règle des cocktails, celle du juste équilibre des saveurs. Je vous recommande celui-ci, délicieux rafraichissement dont il faut profiter sans tarder avant la fin annoncée des clémentines.
Les pâtes, c’est ma façon à moi de me dorloter. Je ne le dirai jamais assez et en particulier à ceux qui se prennent la tête pour cuisiner : « il n’y a rien de meilleur au monde qu’un bon plat de pâtes ». J’ai faim ? C’est simple, je fais bouillir de l’eau, je me fais des pâtes. J’y mets tout ce que j’aime et du moment que les pâtes sont parfaitement cuites al dente, c’est toujours bien. Il n’y a rien dans mon frigo ? De l’huile d’olive, du sel, du parmesan et c’est déjà bon. Le tout prend moins de 15 minutes et on peut en quelques bouchées atteindre le Nirvana.
Aujourd’hui par exemple, j’ai improvisé au pied levé une petite recette printanière fine et pas prétentieuse. Mes pâtes cuisaient déjà, mes pointes d’asperges étaient prêtes à les rejoindre, je hachais mon basilic, quand je me suis aperçue que je n’avais plus assez d’huile d’olive. Qu’à cela ne tienne, j’ai utilisé du beurre et je peux vous dire sans mentir que c’était encore meilleur…
Pour conjurer un temps pourri (appelons un chat un chat), nous avons décidé avec Monica de nous offrir un après-midi gourmand. Ce n’est pas que j’adore le café, je n’en bois jamais. Par contre renversé sur une glace vanille, comme me l’a appris Lolie il y a quelques années, c’est un tout autre sujet. On appelle ça un « cafe affogato » en Italie, ce qui signifie, café noyé. En y ajoutant de la meringue et de la crème fouettée maison, c’est carrément le paradis.
